Projet
Pour mon tout premier livre, j'ai choisi l'autoédition parce que j'avais envie de tout faire à ma façon : de la couverture jusqu'à la mise en page.
L'autoédition, c'est la libérté. C'est oser se lancer sans attendre qu'on te dise "oui". C'est croire assez fort en ton histoire pour la partager au monde, même sans grand éditeur derrière.
J'ai publié mon livre avec TheBookEdition, une plateforme française qui soutient les auteurs indépendants et permet de donner vie à vos rêves de papier.
Explication
L’adolescence est un champ de mines : émotions intenses, solitude, quête d’identité, incompréhensions. Ce livre n’est ni un guide classique, ni une fiction, mais un mélange des deux : un cri du cœur qui s’adresse à tous ceux qui se sentent perdus entre l’enfance et l’âge adulte. C’est un ouvrage sincère, lucide, parfois brutal, parfois réconfortant et avec beaucoup d’humour. Ce qui le rend unique, c’est qu’il ne prétend pas avoir les réponses, mais il pose les bonnes questions. Participer à ce projet, c’est soutenir une parole libre, écrite par une jeune fille qui connaît actuellement ce chaos de l’intérieur. Il s’adresse autant aux adolescents qu’à leurs parents, leurs amis, leurs profs. Et si on essayait, ensemble, de mieux se comprendre ?
Extrait
L’adolescence, c’est une crise identitaire obligatoire ?
Spoiler : Oui, et non. Mais surtout, c’est un chaos qui fait grandir.
L’adolescence, on en parle souvent comme d’une crise.
Une grosse tempête intérieure où tout s’embrouille, tout déraille, tout explose.
Tes émotions sont en montagnes russes, tes pensées se bousculent, et cette question revient tout le temps : Qui suis-je ?
Est-ce que c’est obligé de traverser ça ?
Est-ce que chaque ado doit se perdre, se chercher, se rebeller, pour finir par se trouver ?
La réponse est compliquée.
Parce que oui, la majorité d’entre nous vivent ce bouleversement.
C’est comme un rite de passage presque universel.
Un moment où tu testes tes limites, où tu te défies, où tu remets en question ce qu’on t’a appris.
Mais non, ce n’est pas une règle gravée dans la pierre.
Chaque personne vit cette période différemment.
Certains glissent un peu plus doucement, d’autres en pleine tornade.